L’Histoire prouve que l’esclavage a toujours existé. C’est un phénomène ancien qui s’est métamorphosé à travers les siècles selon les besoins et les circonstances. L’esclavage est le fait de soumettre un être humain à une situation de dépendance totale. L’esclave est un être humain fragile et humilié. Du point de vue politique, juridique et social : l’esclave est presque l’égal d’un animal puisque le maître dispose librement de sa personne. L’esclave doit accomplir docilement tous les ordres de son maître. Il travaille à longueur de journée et ne perçoit aucune rémunération de son travail. L’esclave est un homme qui ne dispose pas librement de sa personne. Il est sous la domination totale d’un propriétaire qui se donne tous les droits sur cet être déshumanisé. L’esclave subit toutes sortes d’humiliation. L’esclavage est un système socio-économique qui repose sur l’oppression, l’exploitation, la soumission et la violence. Depuis longtemps, les civilisations ont donné le droit au maître de dominer totalement cet être privé de tous ses droits. L’esclavage est un crime contre l’humanité. Ce crime se perpétue à travers les siècles mais sous des formes différentes. L’histoire de l’Humanité relate le parcours désobligeant subi par ces êtres désarmés, incapables de se défendre, vu leur faiblesse et leur incapacité d’affronter ces maîtres. Mais il ne faut pas oublier certaines tentatives de révolte et d’insoumission qui ont pu réussir.
Garas, M., Zaki, M. R., & Eid, Z. F. (2025). Images de l'esclavage dans quelques écrits contemporains. Buhūth, 5(1), 27-49. doi: 10.21608/buhuth.2024.283158.1669
MLA
Mariam Garas; Marcelle Ramzi Zaki; Zeinab Fathi Eid. "Images de l'esclavage dans quelques écrits contemporains", Buhūth, 5, 1, 2025, 27-49. doi: 10.21608/buhuth.2024.283158.1669
HARVARD
Garas, M., Zaki, M. R., Eid, Z. F. (2025). 'Images de l'esclavage dans quelques écrits contemporains', Buhūth, 5(1), pp. 27-49. doi: 10.21608/buhuth.2024.283158.1669
VANCOUVER
Garas, M., Zaki, M. R., Eid, Z. F. Images de l'esclavage dans quelques écrits contemporains. Buhūth, 2025; 5(1): 27-49. doi: 10.21608/buhuth.2024.283158.1669